Au cœur de la tempête Songtext
von Banlieue Rouge
Au cœur de la tempête Songtext
D′aucune faction, d'aucune milice,
Nous évoluons loin des idées qui trahissent
Sur un fond de couleur rouge et noir,
Un crâne et des ossements comme seul étendard
Nous, seuls, face au public, rassemblés par la musique
Que les rythmes résonnent, que la distortion gronde,
Que les notes tourbillonent, nous sommes seuls face au monde
Tatouée dans nos esprits, l′aventure de la vie
Qu'on veut sans compromis, et surtout sans soucis
De coeur et de tête, toujours l'esprit à la fête
Que rien ne nous arrête, nous irons jusqu′au coeur de la tempête...
De Montréal à Paris, ça restera les mêmes nuits
A rire et à fêter, à boire et à se déchaîner
Frère, il ne faut pas ralentir ou t′arrêter, tu risques de vieillir
Vieillir du coeur, vieillir dans la peur, vivre ton malheur
Et te noyer dans tes pleurs
Si un jour nous partons, si nous disparaissons,
Ce sera sans dire adieu et ce sera tant mieux
Car y'a pas de doute, on se reverra,
On écumera d′autres routes quelque part dans l'au-delà
Plutôt mourir debout que de vivre à genoux
Surtout faudrait pas croire qu′l'idée est dérisoire,
Pour nous ça se passe plutôt bien,
La vie est un grand bal de vauriens...
Nous évoluons loin des idées qui trahissent
Sur un fond de couleur rouge et noir,
Un crâne et des ossements comme seul étendard
Nous, seuls, face au public, rassemblés par la musique
Que les rythmes résonnent, que la distortion gronde,
Que les notes tourbillonent, nous sommes seuls face au monde
Tatouée dans nos esprits, l′aventure de la vie
Qu'on veut sans compromis, et surtout sans soucis
De coeur et de tête, toujours l'esprit à la fête
Que rien ne nous arrête, nous irons jusqu′au coeur de la tempête...
De Montréal à Paris, ça restera les mêmes nuits
A rire et à fêter, à boire et à se déchaîner
Frère, il ne faut pas ralentir ou t′arrêter, tu risques de vieillir
Vieillir du coeur, vieillir dans la peur, vivre ton malheur
Et te noyer dans tes pleurs
Si un jour nous partons, si nous disparaissons,
Ce sera sans dire adieu et ce sera tant mieux
Car y'a pas de doute, on se reverra,
On écumera d′autres routes quelque part dans l'au-delà
Plutôt mourir debout que de vivre à genoux
Surtout faudrait pas croire qu′l'idée est dérisoire,
Pour nous ça se passe plutôt bien,
La vie est un grand bal de vauriens...
Writer(s): Sylvain David, Jean Francois Desourdy, Xavier Petermann, Safwan Hamdy Lyrics powered by www.musixmatch.com