Le Vent Songtext
von Alexandre Kinn
Le Vent Songtext
Je voulais te dire avant que tout nous change violemment
Que tout ce que j′ai vu pour l'instant
Ne s′arrangera pas avec le temps
Les poches vides le cœur gonflé
Accroché aux rêves que j'avais
À trainer dans les rues cerné par tout ceux qui voulaient juste manger
Moi, je ne fais que des chansons
Mais tout ce que j'ai là dans les mains
C′est bien plus grand que ce que tu crois
Car dans mon poing, la sueur est dense
Je ne vais pas me contenter, non je ne vais pas te laisser faire
D′ailleurs surveille bien tes arrières quand tu entendras le vent se lever
Car les temps changent
Les couleurs se mélangent
Les livres s'échangent
Et si le vent s′engage
Il fera tourner les pages
Je voulais te dire avant que la chaleur ne monte
Que ce n'est pas une histoire de glace et de fonte, mais plutôt de cyniques enragés
Je les attends depuis si longtemps dans la plaine
Que j′ai eu le temps de sentir geler mes doigts mais pas, non pas mes idées
Et je les vois d'ici la nuit parier sur des pays entiers
Pour finir les miettes qu′il pourrait enfin rester
Alors ce n'est plus la peine de trop discuter
Inutile de vouloir négocier calmement, à l'ancienne
Vu que les nouveaux barbares sont banquiers pas mécènes
Car les temps changent
Les couleurs se mélangent
Les livres s′échangent
Et si le vent s′engage
Il fera tourner les pages
Je voulais te dire qu'ici où ailleurs on ne nait pas dissident
On le devient avec le temps
D′ailleurs cela prend du temps de réaliser qu'on peut être libre
On ne s′en rend compte qu'en étant loin de tout
Alors même si là-bas ces gens là font fortune
En abattant des rêves et des hommes souvent sans même plus y penser
Sache qu′aujourd'hui, oh aujourd'hui ils ne finiront pas la journée
Car les temps changent
Les couleurs se mélangent
Les livres s′échangent
Et si le vent s′engage
Il fera tourner les pages
Que tout ce que j′ai vu pour l'instant
Ne s′arrangera pas avec le temps
Les poches vides le cœur gonflé
Accroché aux rêves que j'avais
À trainer dans les rues cerné par tout ceux qui voulaient juste manger
Moi, je ne fais que des chansons
Mais tout ce que j'ai là dans les mains
C′est bien plus grand que ce que tu crois
Car dans mon poing, la sueur est dense
Je ne vais pas me contenter, non je ne vais pas te laisser faire
D′ailleurs surveille bien tes arrières quand tu entendras le vent se lever
Car les temps changent
Les couleurs se mélangent
Les livres s'échangent
Et si le vent s′engage
Il fera tourner les pages
Je voulais te dire avant que la chaleur ne monte
Que ce n'est pas une histoire de glace et de fonte, mais plutôt de cyniques enragés
Je les attends depuis si longtemps dans la plaine
Que j′ai eu le temps de sentir geler mes doigts mais pas, non pas mes idées
Et je les vois d'ici la nuit parier sur des pays entiers
Pour finir les miettes qu′il pourrait enfin rester
Alors ce n'est plus la peine de trop discuter
Inutile de vouloir négocier calmement, à l'ancienne
Vu que les nouveaux barbares sont banquiers pas mécènes
Car les temps changent
Les couleurs se mélangent
Les livres s′échangent
Et si le vent s′engage
Il fera tourner les pages
Je voulais te dire qu'ici où ailleurs on ne nait pas dissident
On le devient avec le temps
D′ailleurs cela prend du temps de réaliser qu'on peut être libre
On ne s′en rend compte qu'en étant loin de tout
Alors même si là-bas ces gens là font fortune
En abattant des rêves et des hommes souvent sans même plus y penser
Sache qu′aujourd'hui, oh aujourd'hui ils ne finiront pas la journée
Car les temps changent
Les couleurs se mélangent
Les livres s′échangent
Et si le vent s′engage
Il fera tourner les pages
Writer(s): Alexandre Calmet, Olivier Koundouno Lyrics powered by www.musixmatch.com