Canzone di malavita Songtext
von Akhenaton
Canzone di malavita Songtext
Uuuuuuuuuuuuuuu
Uuuuuuuuuuuuuuu
Uuuuuuuuuuuuuuu
Un jour à Naples, un vieux m′a dit
on chante parce qu'on est heureux d′etre tristes
on vit avec le volcan sur nos têtes
et avec la mort comme un corbeau sur nos épaules
alors, on chante la vie
et on danse avec l'ange noir jusqu'à plus de souffle
ainsi dans le dialecte, aucun verbe ne se conjugue au futur
ce qu′il y a de plus vivant en nous, c′est nos mioches...
Si l'horloge marquait fin au compteur
le monde aurait peur qu′je le croque
il palirait devant mon appetit, ma soif de vie
j'pousserai les portes, lutterai à n′en plus finir
nommerai ces sentiments, qu'j′ai eu trop de mal à definir
parcourerai la courbure du globe
fixer ces tresors dans mes lobes
plus precieux que ceux qui dorment dans les coffres
j'saurai apprendre que ceux qu'on chérit d′un coeur tendre
ne sont pas éternels, un jour la mort passe pour les prendre
j′dirai pardon à tous ceux et celles que j'ai lesé
reprendrai les cours et tous ces projets qu′j'ai laissé
un de ces jours ou j′étais las des leurres
j'emplirai mes heures ou tous ces reves furent avorter dans les pleurs
lirai ce nom sur les facades graffé en pleines lettres
éloge à la memoire de potes frappes en pleine tête
j′voudrai pas être star, ni VIP, ni people
juste gratter mes médailles au chant d'honneur
comme soldat du hip-hop
j'raconterai mes ennuis sur papier à carreaux
j′noierai ma face au bleu, sous un spray Azzaro
j′aurai les mêmes amis, les mêmes galères au fond
lèverai le pied pour nos mammas
ouais, ça les rend folles
comme un vieux au pays ce soir, fredonne pour l'estime
les contes et les récits issus de nos mauvaises vies
on chante quand on est si heureux d′être triste
car on vit avec la mort, princesse à la coiffe magnifique
J'ferai attention que ces murs ne soient pas mon opium
car j′regrette que les flics fouillent tout à 6h du mat' dans nos piaules
c′est pas une vie, rien de palpitant
assis sur le siège du passager, attendant l'accident
tournerai à gauche, quand la masse vire à droite
et s'égare vend pour champagnes et cigares
beaucoup de sang-froid pour un môme de mon âge
à defaut de conscience
tous mes actes seraient eclos et accomplis en mon âme
j′ferai preuve de bon sens
ne jouerai plus ma vie dans les rues de New-York,
à faire le con, bon sang
lancerai un petit maxi strict, en live de ma cache
sous la cape, il tournerait, juste pour voir de quoi j′suis capable
l'ammenerai à ma mere pour qu′elle l'accroche au salon
j′serai sa star, loin du fiston en séjour au ballon
te donnerai rendez-vous dans ce café comme avant
avec mon silence comme seule avance
on matterait les passants, des heures délirant ensemble
reverdissant le jardin de mes joies parties en cendres
hors du donjon où j'etais cloitré
tu m′emmenerais respirer la vie dans Paris au mois de mai
j'aurai toujours la honte de rien avoir à offrir
à part mes lettres, mon coeur, mais si, mon coeur aussi
j'irai au cinoche demander deux places
et craquer ce qui reste au fond de mes poches pour t′acheter une glace
Prends ma main dans la tienne et egrenne les jours
pour l′instant qui s'envole et ravi de mes jours
ecoute-moi chanter nos heures, les hauts et les bas
Uuuuuuuuuuuuuuu
Uuuuuuuuuuuuuuu
Un jour à Naples, un vieux m′a dit
on chante parce qu'on est heureux d′etre tristes
on vit avec le volcan sur nos têtes
et avec la mort comme un corbeau sur nos épaules
alors, on chante la vie
et on danse avec l'ange noir jusqu'à plus de souffle
ainsi dans le dialecte, aucun verbe ne se conjugue au futur
ce qu′il y a de plus vivant en nous, c′est nos mioches...
Si l'horloge marquait fin au compteur
le monde aurait peur qu′je le croque
il palirait devant mon appetit, ma soif de vie
j'pousserai les portes, lutterai à n′en plus finir
nommerai ces sentiments, qu'j′ai eu trop de mal à definir
parcourerai la courbure du globe
fixer ces tresors dans mes lobes
plus precieux que ceux qui dorment dans les coffres
j'saurai apprendre que ceux qu'on chérit d′un coeur tendre
ne sont pas éternels, un jour la mort passe pour les prendre
j′dirai pardon à tous ceux et celles que j'ai lesé
reprendrai les cours et tous ces projets qu′j'ai laissé
un de ces jours ou j′étais las des leurres
j'emplirai mes heures ou tous ces reves furent avorter dans les pleurs
lirai ce nom sur les facades graffé en pleines lettres
éloge à la memoire de potes frappes en pleine tête
j′voudrai pas être star, ni VIP, ni people
juste gratter mes médailles au chant d'honneur
comme soldat du hip-hop
j'raconterai mes ennuis sur papier à carreaux
j′noierai ma face au bleu, sous un spray Azzaro
j′aurai les mêmes amis, les mêmes galères au fond
lèverai le pied pour nos mammas
ouais, ça les rend folles
comme un vieux au pays ce soir, fredonne pour l'estime
les contes et les récits issus de nos mauvaises vies
on chante quand on est si heureux d′être triste
car on vit avec la mort, princesse à la coiffe magnifique
J'ferai attention que ces murs ne soient pas mon opium
car j′regrette que les flics fouillent tout à 6h du mat' dans nos piaules
c′est pas une vie, rien de palpitant
assis sur le siège du passager, attendant l'accident
tournerai à gauche, quand la masse vire à droite
et s'égare vend pour champagnes et cigares
beaucoup de sang-froid pour un môme de mon âge
à defaut de conscience
tous mes actes seraient eclos et accomplis en mon âme
j′ferai preuve de bon sens
ne jouerai plus ma vie dans les rues de New-York,
à faire le con, bon sang
lancerai un petit maxi strict, en live de ma cache
sous la cape, il tournerait, juste pour voir de quoi j′suis capable
l'ammenerai à ma mere pour qu′elle l'accroche au salon
j′serai sa star, loin du fiston en séjour au ballon
te donnerai rendez-vous dans ce café comme avant
avec mon silence comme seule avance
on matterait les passants, des heures délirant ensemble
reverdissant le jardin de mes joies parties en cendres
hors du donjon où j'etais cloitré
tu m′emmenerais respirer la vie dans Paris au mois de mai
j'aurai toujours la honte de rien avoir à offrir
à part mes lettres, mon coeur, mais si, mon coeur aussi
j'irai au cinoche demander deux places
et craquer ce qui reste au fond de mes poches pour t′acheter une glace
Prends ma main dans la tienne et egrenne les jours
pour l′instant qui s'envole et ravi de mes jours
ecoute-moi chanter nos heures, les hauts et les bas
Writer(s): Philippe Tristan Fragione Lyrics powered by www.musixmatch.com