Jacques Offenbach Songtexte
Belle nuit, ô nuit d'amour
Orpheus in der Unterwelt: Höllengalopp
Hoffmanns Erzählungen: Arie des Dapertutto "Leuchte, heller Spiegel, mir"
Barcarolle
Phöbus stolz im Sonnenwagen
Geboren am 20. Juni 1819, Gestorben am 05. Oktober 1880
Anthologie Vol. 1 (Compilation)
- Orphée aux enfers : Ouverture (version allemande de Karl Binder)
- Le Violoneux : Le Violoneux du village (Ronde du violoneux) (von Ragneau)
- Le Mariage aux lanternes : Ouverture
- Orphée aux enfers : La Femme dont le cœur rêve (Couplet du berger joli) (von Emma Luart)
- Orphée aux enfers : Quand j'étais roi de Béotie (Couplets de John Styx) (von Albert Vaguet)
- Orphée aux enfers : Pour attirer du fond de sa retraite (Couplets des baisers) (von Emma Luart)
- Orphée aux enfers : J'ai vu le Dieu Bacchus (Hymne à Bacchus)
- La Chanson de Fortunio : Si vous croyez que je vais dire (von Georges Foix)
- La Chanson de Fortunio : Si vous croyez que je vais dire
- Les Bavards : C'est l'Espagne qui nous donne (von Suzanne Nicod)
- Le Brésilien : En allant à son ministère (von Ragneau)
- Lischen et Fritzchen : Je suis alsacienne
- La Belle Hélène : Ouverture (version allemande de Max Reinhardt) (von Orchester der Deutschen Staatsoper Berlin, Otto Klemperer)
- La Belle Hélène : Amour divins, charmantes flammes (von Mireille Berthon)
- La Belle Hélène : Au mont Ida trois déesses (Le Jugement de Pâris) (von Victor Pujol, Gustave Cloëz)
- La Belle Hélène : Au mont Ida trois déesses (Le Jugement de Pâris) (von Jussi Björling)
- La Belle Hélène : On me nomme Hélène la blonde (Invocation à Vénus)
- La Belle Hélène : Là ! Vrai, je ne suis pas coupable (von Jenny Syril)
- Barbe-Bleue : V'la z'encor de drôl's de jeunesses (Couplets de la rosière) (von Georges Foix)
- Geneviève de Brabant : Protéger le repos des villes (Couplets des deux hommes d'armes)
- La Princesse de Trébizonde : Moment fatal ! Hélas, que faire ? (Duo de l'enlèvement)
Anthologie Vol. 2 (Compilation)
- La Vie Parisienne : Quadrille
- La Vie Parisienne : Elles sont tristes les marquises
- La Vie Parisienne : Ce que c'est pourtant que la vie (Triolet) (von Urban)
- La Vie Parisienne : Je suis Brésilien j'ai de l'or (Rondeau du Brésilien)
- La Vie Parisienne : Nous venons, arrivons (Finale de l'acte I)
- La Vie Parisienne : Autrefois plus d'un amant
- La Vie Parisienne : Vous souvient-il ma belle (Rondeau de la lettre) (von Bernadette Delprat)
- La Vie Parisienne : Pour découper adroitement (Couplets du major)
- La Vie Parisienne : Je suis veuve d'un colonel (von Mireille Berthon)
- La Vie Parisienne : On est v'nu m'inviter (Air tyrolien)
- La Vie Parisienne : On va courir, on va sortir
- La Vie Parisienne : En endossant mon uniforme (Chanson à boire) (von Ragneau)
- La Vie Parisienne : Avant toute chose il faut être (von Émile Rousseau)
- La Grande Duchesse de Gérolstein : Ouverture / (von Joseph-Eugène Szyfer)
- La Grande Duchesse de Gérolstein : Ah ! Que j'aime les militaires (Rondo de la Grande-Duchesse)
- La Grande Duchesse de Gérolstein : Ah ! Ces fameux régiments (Chanson du Régiment)
- La Grande Duchesse de Gérolstein : Pour épouser une princesse (Chronique de la Gazette de Hollande) (von André Noël)
- La Grande Duchesse de Gérolstein : Voici le sabre de mon père
- La Grande Duchesse de Gérolstein : Dites-lui qu'on l'a remarqué (La Déclaration)
- La Grande Duchesse de Gérolstein : Faut-il, mon Dieu que je sois bête! (Couplets des mariés)
- La Grande Duchesse de Gérolstein : Il était un de mes aïeux (Légende du verre) (von Juliette Simon-Girard)
- La Périchole : Le conquérant dit à l'indienne (L'Espagnol et la jeune Indienne)
- La Périchole : Vous a-t-on dit souvent (Séguedille pour soirée)
- La Périchole : O mon cher amant je te jure (La Lettre de la Périchole) (von Emma Calvé)
- La Périchole : Ah ! Quel dîner je viens de faire (Griserie - Ariette)
- La Périchole : Et là ! Maintenant que nous sommes (Les femmes il n'y a que ça) (von Alfred Dambrine)
- La Périchole : Tu n'es pas beau, tu n'es pas riche (Couplets de l'aveu) (von Fanély Revoil, Édouard Bervilly)
Anthologie Vol. 3 (Compilation)
- La Fille du tambour-major : Ouverture (von Gustave Cloëz)
- Les Brigands : Au chapeau je porte une aigrette (von Anna Tariol-Baugé)
- Les Brigands : Après avoir pris à droite
- Les Brigands : J'entends un bruit de bottes
- Les Brigands : Arrête-toi donc, je t'en prie
- Les Brigands : Jadis vous n'aviez qu'un' patrie
- Les Brigands : Vraiment je n'en sais rien
- Les Brigands : O mes amours, ô mes maîtresses
- Le Roi Carotte : Nous venons du fin fond de la Perse
- La Jolie Parfumeuse : À Toulouse en Toulousain (von Juliette Simon-Girard)
- Bagatelle : Javotte aimait le gros Mathurin
- Madame l'Archiduc : Où j'vais ? Je n'en savons rien (von Edmée Favart)
- Madame l'Archiduc : Vous, officier et sans moustaches (von Edmée Favart)
- Madame l'Archiduc : Ne rentrez pas encore
- Madame l'Archiduc : Le Duc avec largesse (von Edmée Favart)
- La boulangère a des écus : Les fariniers, les charbonniers (von Reynaldo Hahn)
- Maître Péronilla : D'où viens-tu chanson nouvelle (von Juliette Simon-Girard)
- Madame Favart : Ma mère aux vignes m'envoyit (von Juliette Simon-Girard)
- Madame Favart : Ma mère aux vignes m'envoyit (von Fanély Revoil, Édouard Bervilly)
- Madame Favart : Quand au four on le retire (von Alexis Boyer)
- Madame Favart : Je passe sur mon enfance (von Fanély Revoil, Édouard Bervilly)
- Madame Favart : Quand il cherche dans sa cervelle (von Léon Ponzio)
- La Fille du tambour-major : Tout en tirant mon aiguille (von Victor Pujol, Gustave Cloëz)
- La Fille du tambour-major : Depuis longtemps l'Italie
- La Fille du tambour-major : C'est un billet de logement
- La Fille du tambour-major : Le voilà ce bel uniforme
- La Fille du tambour-major : Que m'importe un titre éclatant (von Edmée Favart)
Anthologie Vol. 4. Les Contes d’Hoffmann (Compilation)
- Les Contes d’Hoffmann : Entr’acte de l’acte III (von London Philharmonic Orchestra, Sir Thomas Beecham)
- Les Contes d’Hoffmann : Drig ! Drig drig !
- Les Contes d’Hoffmann : Il était une fois à la cour d’Eisenach
- Les Contes d’Hoffmann : Il était une fois à la cour d’Eisenach (chanté en allemand)
- Les Contes d’Hoffmann : C’est elle, elle sommeille
- Les Contes d’Hoffmann : J’ai des yeux (von André Balbon)
- Les Contes d’Hoffmann : Les Oiseaux dans la charmille
- Les Contes d’Hoffmann : Les Oiseaux dans la charmille (chanté en allemand)
- Les Contes d’Hoffmann : Belle nuit, ô nuit d’amour
- Les Contes d’Hoffmann : Belle nuit, ô nuit d’amour (chanté en allemand)
- Les Contes d’Hoffmann : Amis, l’amour tendre et rêveur, erreur ! (chanté en tchèque) (von Otakar Mařák)
- Les Contes d’Hoffmann : Allez ! Pour te livrer combat
- Les Contes d’Hoffmann : Scintille diamant (chanté en suédois)
- Les Contes d’Hoffmann : Elle a fui, la tourterelle
- Les Contes d’Hoffmann : C’est une chanson d’amour
- Les Contes d’Hoffmann : C’est une chanson d’amour (chanté en allemand)
- Les Contes d’Hoffmann : Tu ne chanteras plus ?
- Les Contes d’Hoffmann : Antonia ! Ciel ! Écoute ! (chanté en allemand)
- Les Contes d’Hoffmann : Ô Dieu ! Quelle ivresse
- Les Contes d’Hoffmann : Ô Dieu ! Quelle ivresse (chanté en allemand)
- Les Contes d’Hoffmann : Entr’acte de l’épilogue (von London Philharmonic Orchestra, Sir Thomas Beecham)