Drunkard's Sorrow Waltz Songtext
von The Balfa Brothers
Drunkard's Sorrow Waltz Songtext
Hé, yaille, depuis l′âge de quatorze ans
J'après rouler manche à manche
Après rouler avec ma bouteille dans la main
Pour assayer d′en trouver
Pour assayer d'en trouver une autre comme toi
T'es la seule mon couer désire
Hé, bébé
Chaque fois je pars de la maison
Pop et mom se mettent à pleurer
Ça me suit jusqu′à la porte du cour
En disant, "Toi t′es un bonrien"
Fait pas ça, viens, donc nous rejoindre
Oh, yé yaille, mais mon j'ai toujours dit
Toujours dit à mon vieux pop et à ma chère vieille bonne maman
Mon, j′connais j'sus un bonrien
J′suis un bonrien pour moi-même
J'ai jamais fait rien pour personne
Hé Bébé
Aujourd′hui n'importe ayoù
N'importe ayoù moi j′peux passer
Blanc et noir, ça me pointe au doigt, chère
En disant, "Gardez-là,"
"Gardez-là le grand bonrien, le rouleur et bambocheur"
Hé, chère
Aujourd′hui J'sus condamné
Condamné à rouler
Ma bourouette sus ma planche de six pouces
Quatre-vingt dix neuf ans
Quatre-vingt dix neuf ans, c′est la limite d'un bonrien
Ça c′est le restant de ma vie
Aussi loin de c't′la moi j'aime
Équand j'étais petit
Mon je braillais pour des patates
Et quand mon j′sus devenu moyen
Mon, je braillais pour ma bouteille
Asteur, mon j′sus grand
J'après brailler pour les ′tites veuves
Je serais content d'en avoir une et de l′amener à ma maison
J'après rouler manche à manche
Après rouler avec ma bouteille dans la main
Pour assayer d′en trouver
Pour assayer d'en trouver une autre comme toi
T'es la seule mon couer désire
Hé, bébé
Chaque fois je pars de la maison
Pop et mom se mettent à pleurer
Ça me suit jusqu′à la porte du cour
En disant, "Toi t′es un bonrien"
Fait pas ça, viens, donc nous rejoindre
Oh, yé yaille, mais mon j'ai toujours dit
Toujours dit à mon vieux pop et à ma chère vieille bonne maman
Mon, j′connais j'sus un bonrien
J′suis un bonrien pour moi-même
J'ai jamais fait rien pour personne
Hé Bébé
Aujourd′hui n'importe ayoù
N'importe ayoù moi j′peux passer
Blanc et noir, ça me pointe au doigt, chère
En disant, "Gardez-là,"
"Gardez-là le grand bonrien, le rouleur et bambocheur"
Hé, chère
Aujourd′hui J'sus condamné
Condamné à rouler
Ma bourouette sus ma planche de six pouces
Quatre-vingt dix neuf ans
Quatre-vingt dix neuf ans, c′est la limite d'un bonrien
Ça c′est le restant de ma vie
Aussi loin de c't′la moi j'aime
Équand j'étais petit
Mon je braillais pour des patates
Et quand mon j′sus devenu moyen
Mon, je braillais pour ma bouteille
Asteur, mon j′sus grand
J'après brailler pour les ′tites veuves
Je serais content d'en avoir une et de l′amener à ma maison
Writer(s): Dewey Balfa Lyrics powered by www.musixmatch.com