Je haïs les dimanches (version 2) Songtext
von Juliette Gréco
Je haïs les dimanches (version 2) Songtext
Tous les jours de la semaine sont vides et sonnent le creux
Mais y a pire que la semaine, y a le dimanche prétentieux
Qui veut paraître rose et jouer les généreux
Le dimanche qui s′impose comme un jour bienheureux
Je hais les dimanches, je hais les dimanches
Dans la rue y a la foule, des millions de passants
Cette foule qui coule d'un air indifférent
Cette foule qui marche comme à un enterrement
L′enterrement d'un dimanche qui est mort depuis longtemps
Je hais les dimanches, je hais les dimanches
Tu travailles toute la semaine et le dimanche aussi
C'est peut-être pour ça que je suis d′parti pris
Chéri, si simplement tu étais près de moi
Je serais prête à aimer tout ce que je n′aime pas
Les dimanches de printemps tout flanqués de soleil
Qui effacent en brillant, les soucis de la veille
Des dimanches pleins de ciel bleu et de rires d'enfants
De promenades d′amoureux aux timides serments
Et de fleurs aux branches, et de fleurs aux branches
Et parmi la cohue des gens, qui, sans s'presser
Vont à travers les rues, nous irions nous glisser
Tous les mains dans la main sans chercher à savoir
Ce qu′il y aura demain n'ayant pour tout espoir
Que d′autres dimanche, que d'autres dimanche
Et tous les honnêtes gens que l'on dit bien pensants
Et ceux qui n′le sont pas et qui veulent qu′on le croie
Et qui vont à l'église parce que c′est la coutume
Et qui changent de chemises et mettent un beau costume
Ceux qui dorment 20 heures, car rien ne les en empêche
Ceux qui s'lèvent de bonne heure pour aller à la pêche
Ceux pour qui, c′est le jour d'aller au cimetière
Et ceux qui font l′amour parce qu'ils n'ont rien à faire
Envieraient notre bonheur tout comme j′envie le leur
D′avoir de dimanches, d'aimer les dimanches
De croire aux dimanche
Quand je hais les dimanches
Mais y a pire que la semaine, y a le dimanche prétentieux
Qui veut paraître rose et jouer les généreux
Le dimanche qui s′impose comme un jour bienheureux
Je hais les dimanches, je hais les dimanches
Dans la rue y a la foule, des millions de passants
Cette foule qui coule d'un air indifférent
Cette foule qui marche comme à un enterrement
L′enterrement d'un dimanche qui est mort depuis longtemps
Je hais les dimanches, je hais les dimanches
Tu travailles toute la semaine et le dimanche aussi
C'est peut-être pour ça que je suis d′parti pris
Chéri, si simplement tu étais près de moi
Je serais prête à aimer tout ce que je n′aime pas
Les dimanches de printemps tout flanqués de soleil
Qui effacent en brillant, les soucis de la veille
Des dimanches pleins de ciel bleu et de rires d'enfants
De promenades d′amoureux aux timides serments
Et de fleurs aux branches, et de fleurs aux branches
Et parmi la cohue des gens, qui, sans s'presser
Vont à travers les rues, nous irions nous glisser
Tous les mains dans la main sans chercher à savoir
Ce qu′il y aura demain n'ayant pour tout espoir
Que d′autres dimanche, que d'autres dimanche
Et tous les honnêtes gens que l'on dit bien pensants
Et ceux qui n′le sont pas et qui veulent qu′on le croie
Et qui vont à l'église parce que c′est la coutume
Et qui changent de chemises et mettent un beau costume
Ceux qui dorment 20 heures, car rien ne les en empêche
Ceux qui s'lèvent de bonne heure pour aller à la pêche
Ceux pour qui, c′est le jour d'aller au cimetière
Et ceux qui font l′amour parce qu'ils n'ont rien à faire
Envieraient notre bonheur tout comme j′envie le leur
D′avoir de dimanches, d'aimer les dimanches
De croire aux dimanche
Quand je hais les dimanches
Writer(s): Charles Aznaourian, Florence Veran, Pierre Leca, Eliane Marie-louise Meyer Lyrics powered by www.musixmatch.com