L’Olympia Songtext
von Gilbert Bécaud
L’Olympia Songtext
Tu cherches ce fauteuil que tu ne trouves pas
Moi j′ai peur de la peur qui m'attend à deux pas
Tu commences à sortir de ta vie quotidienne
Moi je ne pense plus, je suis déjà sur scène
Les lumières s′estompent et tombe la rumeur
Deux mondes se rejoignent avec un même coeur
Régisseur, cigarette, le petit coup de rhum
Moi je n'existe plus, je ne suis plus un homme
Et je crie la vie comme une dernière heure
Et je vis la vie comme on rêve d'ailleurs
Et je ris la vie pour oublier qu′elle pleure
Et je prie la vie pour un monde meilleur
Je le prends dans mes bras
Il est à moi L′olympia
La tempête est partie vers le dernier métro
Le dernier autographe sur le coeur de Pierrot
J'ai dit mon dernier mot dans le dernier je t′aime
Moi je ne suis plus lui, je ne suis que moi-même
Le théâtre fantôme n'est plus que quatre murs
Une planète vide, un voilier sans voilure
Le son était trop fort, le bleu beaucoup trop bleu
Il fait beau cette nuit, je suis un homme heureux
Et je crie la vie comme une dernière heure
Et je vis la vie comme d′autres la meurent
Et je ris la vie pour oublier qu'elle pleure
Et je prie la vie pour un monde meilleur
Je le prends dans mes bras
Il est à moi L′olympia
Moi j′ai peur de la peur qui m'attend à deux pas
Tu commences à sortir de ta vie quotidienne
Moi je ne pense plus, je suis déjà sur scène
Les lumières s′estompent et tombe la rumeur
Deux mondes se rejoignent avec un même coeur
Régisseur, cigarette, le petit coup de rhum
Moi je n'existe plus, je ne suis plus un homme
Et je crie la vie comme une dernière heure
Et je vis la vie comme on rêve d'ailleurs
Et je ris la vie pour oublier qu′elle pleure
Et je prie la vie pour un monde meilleur
Je le prends dans mes bras
Il est à moi L′olympia
La tempête est partie vers le dernier métro
Le dernier autographe sur le coeur de Pierrot
J'ai dit mon dernier mot dans le dernier je t′aime
Moi je ne suis plus lui, je ne suis que moi-même
Le théâtre fantôme n'est plus que quatre murs
Une planète vide, un voilier sans voilure
Le son était trop fort, le bleu beaucoup trop bleu
Il fait beau cette nuit, je suis un homme heureux
Et je crie la vie comme une dernière heure
Et je vis la vie comme d′autres la meurent
Et je ris la vie pour oublier qu'elle pleure
Et je prie la vie pour un monde meilleur
Je le prends dans mes bras
Il est à moi L′olympia
Writer(s): Pierre Delanoë Lyrics powered by www.musixmatch.com