Le Balcon Songtext
von Georges Chelon
Le Balcon Songtext
Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses
Ô toi, tous mes plaisirs, ô toi, tous mes devoirs
Tu te rappelleras la beauté des caresses
La douceur du foyer et le charme des soirs
Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses
Les soirs illuminés par l′ardeur du charbon
Et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses
Que ton sein m'était doux, que ton coeur m′était bon
Nous avons dit souvent d'impérissables choses
Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon
Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées
Que l′espace est profond, que le coeur est puissant
En me penchant vers toi, reine des adorées
Je croyais respirer le parfum de ton sang
Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées
La nuit s′épaississait ainsi qu'une cloison
Et mes yeux dans le noir devinaient tes prunelles
Et je buvais ton souffle, ô douceur, ô poison
Et tes pieds s′endormaient dans mes mains fraternelles
La nuit s'épaississait ainsi qu′une cloison
Je sais l'art d′évoquer les minutes heureuses
Et revis mon passé blotti dans tes genoux
Car à quoi bon chercher tes beautés langoureuses
Ailleurs qu'en ton cher corps et qu'en ton coeur si doux?
Je sais l′art d′évoquer les minutes heureuses
Ces serments, ces parfums, ces baisers infinis
Renaîtront-il d'un gouffre interdit à nos sondes
Comme montent au ciel les soleils rajeunis
Après s′être lavés au fond des mers profondes?
Ô serments, ô parfums, ô baisers infinis
Ô serments, ô parfums, ô baisers infinis
Ô toi, tous mes plaisirs, ô toi, tous mes devoirs
Tu te rappelleras la beauté des caresses
La douceur du foyer et le charme des soirs
Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses
Les soirs illuminés par l′ardeur du charbon
Et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses
Que ton sein m'était doux, que ton coeur m′était bon
Nous avons dit souvent d'impérissables choses
Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon
Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées
Que l′espace est profond, que le coeur est puissant
En me penchant vers toi, reine des adorées
Je croyais respirer le parfum de ton sang
Que les soleils sont beaux dans les chaudes soirées
La nuit s′épaississait ainsi qu'une cloison
Et mes yeux dans le noir devinaient tes prunelles
Et je buvais ton souffle, ô douceur, ô poison
Et tes pieds s′endormaient dans mes mains fraternelles
La nuit s'épaississait ainsi qu′une cloison
Je sais l'art d′évoquer les minutes heureuses
Et revis mon passé blotti dans tes genoux
Car à quoi bon chercher tes beautés langoureuses
Ailleurs qu'en ton cher corps et qu'en ton coeur si doux?
Je sais l′art d′évoquer les minutes heureuses
Ces serments, ces parfums, ces baisers infinis
Renaîtront-il d'un gouffre interdit à nos sondes
Comme montent au ciel les soleils rajeunis
Après s′être lavés au fond des mers profondes?
Ô serments, ô parfums, ô baisers infinis
Ô serments, ô parfums, ô baisers infinis
Writer(s): John C Adams, Claude Debussy, Charles Pierre Baudelaire Lyrics powered by www.musixmatch.com